De retour, depuis deux jours de mon Voyage d[’]Jtalie, j’ai cru de mon devoir, d’en faire part à Votre Majesté, il auroit èté des plus agreables, si une Chaleur insoutenable ne nous avoit incommode de telle façon, qu’Elle nous à chassé, j’ai laissé la Marggrave à Verone, d’ou j’ai pris Les devans, et Elle suit à petites | journées, sa santé est bonne, et resiste à la fatigue mieux que personne, je ferai volontiers à Votre Majesté le detail d’un voyage très-interessant si je ne savois que la Marggrave s’est [c’est ]chargé de ce soin, il ne me reste que [d… ]d’asseurer Votre Majesté de l’attachement le plus respectueux, et du plus profond respect, avec le quel j’ai l’honneur d’etre[,]